PUREPEOPLE 🔵 Vitaa impuissante face à son nouveau-né, ce diagnostic qu’elle n’aurait jamais voulu entendre

Au-delà d’être une excellente chanteuse, qui pour rappel avait été propulsée sur le devant de la scène en 2006 grâce à son titre Confession Nocturnes en featuring avec Diam’s, Vitaa – qui souffle sa 42ème bougie ce vendredi 14 mars – est également une maman de trois enfants, avec son mari Hicham.

Il y a Liham (née en juillet 2011), Adam (né en octobre 2014), et enfin sa petite princesse Noa (qui a vu le jour en avril 2022). Aujourd’hui, la famille se porte bien. Et ce malgré un home-jacking assez traumatisant pour le clan, survenu à l’aube du 20 décembre 2023, à leur domicile de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine). 

Mais ce n’est pas le seul épisode douloureux vécu par la chanteuse, qui a eu très peur pour l’un de ses trois enfants, lors de l’accouchement. Il faut remonter en 2014, le 25 octobre. Vitaa accueille alors Adam, son deuxième fils. Tout se passe bien jusqu’au soir, où on lui apprend que son bébé est en train de faire une septicémie (réaction grave de l’ensemble du corps à une bactériémie ou à une autre infection).

« On commence un traitement à base d’antibiotiques. Les médecins sont confiants mais ne me cachent pas qu’il y a un risque vital. L’infection peut virer en méningite et donc affecter le cerveau. Parce que j’ai accouché dans une clinique où rien n’est prévu pour de tels soins, nous sommes transférés en urgence dans le service néonatalité de l’hôpital Saint-Joseph, dans le XIVe arrondissement de Paris« , racontait Vitaa dans les colonnes de Paris Match.

Son fils en danger, Vitaa rongée par la culpabilité 

Puis de poursuivre : « Adam subit ses premiers soins. Il ne peut pas prendre de bain, trop de piqûres sur son petit corps. Mais le pire reste la ponction lombaire (acte qui consiste à introduire une fine aiguille entre deux vertèbres du bas du dos, le plus souvent pour prélever du liquide céphalorachidien ou cérébrospinal ou pour injecter un produit, ndlr). Terrifiée, je refuse ! Le pédiatre m’explique qu’un nourrisson ne sent pas la douleur comme les adultes car ses os sont encore mous. Alors l’angoisse laisse place à la culpabilité : ses souffrances, c’est ma faute. Je me prépare à le perdre. »

Vitaa garde toutefois un brin d’espoir et se réfugie dans la religion. Huit jours plus tard, Adam est enfin sain et sauf. Et ressort de cette épreuve « sans séquelles ». « Ma vie s’illumine à nouveau. Aujourd’hui, je pense même à un troisième enfant. Pourquoi pas l’année prochaine ! Je rêve d’une petite fille !« , ajoutait Vitaa, qui finira donc par réaliser ce rêve, avec la naissance de la petite Noa. Tout est bien qui finit bien donc…