PUREPEOPLE 🔵 Suite aux tĂ©moignages contre GĂ©rard Darmon, Judith Godrèche rĂ©agit : « Ce qui me marque, c’est… » – Shango Media
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PUREPEOPLE 🔵 Suite aux tĂ©moignages contre GĂ©rard Darmon, Judith Godrèche rĂ©agit : « Ce qui me marque, c’est… »

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GĂ©rard Darmon est accusĂ© par plusieurs femmes de gestes et propos dĂ©placĂ©s. Des faits que l’acteur nie en bloc et qui se seraient dĂ©roulĂ©s entre 2018 et 2024 sur le tournage de six films. L’enquĂŞte a Ă©tĂ© menĂ©e et dĂ©voilĂ©e par le magazine Politis. Sur une vingtaine de femmes concernĂ©es par ses agissements, neuf ont acceptĂ© de livrer leurs tĂ©moignages aux journalistes. Elles dĂ©peignent des « humiliations », des « insultes sexistes », ainsi qu’un « sentiment permanent d’insĂ©curité ».

Judith Godrèche, qui provoquait une onde de choc dans le cinĂ©ma français en fĂ©vrier dernier en accusant BenoĂ®t Jacquot et Jacques Doillon de viols et agressions sexuelles, a rĂ©agi Ă  cette affaire sur le plateau de Quotidien ce vendredi 29 novembre. « Je trouve cela très bien que la parole continue de se libĂ©rer. Ce qui, Ă  chaque fois, me marque, c’est le nombre de personnes qui visiblement semblent avoir tĂ©moignĂ© au dĂ©part, et qui ont pris peur (…) Il y a une commission d’enquĂŞte qui a lieue en ce moment Ă  l’AssemblĂ©e Nationale, les techniciennes sont terrorisĂ©es Ă  l’idĂ©e de tĂ©moigner. Il y a la peur qui domine.« 

Judith Godrèche accusée de diffamation

Elle pense que ce sentiment est notamment liĂ© au fait d’avoir peur des « reprĂ©sailles ». « La peur, dans mon cas, d’ĂŞtre poursuivie en diffamation, la peur de parler alors qu’il s’agit de quelqu’un de connu, installĂ©, qui a du pouvoir…La peur de plus travailler, tout simplement… » Pour rappel, afin de contextualiser ses propos, Judith Godrèche a annoncĂ© mardi avoir reçu un avis prĂ©alable de mise en examen pour diffamation, une mesure procĂ©duralement automatique, après la plainte du cinĂ©aste Jacques Doillon par rapport Ă  un post Instagram de l’actrice datant du 21 fĂ©vrier dernier dans lequel elle l’accuse d’avoir couchĂ© avec des enfants.

Elle fait notamment rĂ©fĂ©rence Ă  ce qui lui aurait infligĂ©e. Il lui aurait « mis les doigts dans la culotte » pendant des essais pour un film sorti en 1989, alors qu’elle n’avait que 15 ans. Des faits qui sont toutefois prescrits. « Je laisse la justice faire son travail.« , a-t-elle simplement expliquĂ© Ă  ce sujet, sur le plateau de Quotidien toujours.

Judith Godrèche, GĂ©rard Darmon, BenoĂ®t Jacquot et Jacques Doillon sont prĂ©sumĂ©s innocents jusqu’Ă  clĂ´ture dĂ©finitive de ces dossiers.

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