PUREPEOPLE 🔵 Ludivine Sagnier solaire à Nice, elle a ouvert avec brio le Festival Cinéroman avec Louis Garrel

Pour sa sixième édition, après une 5e très réussie, l’événement niçois Cinéroman (festival consacré aux films adaptés de romans) a réuni un jury de choix présidé par Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, réalisateurs stars de Monte-Cristo. Jusqu’au 5 octobre, ce seront Philippine Leroy-Beaulieu, Laetitia Dosch, Jérémie Renier, Danièle Thompson, Enki Bilal, Aurélie Saada et François Berléand qui auront la lourde tâche de départager les 10 films en compétition.

Parmi ceux-là : Leurs Enfants après eux, le film des frères Boukherma, adapté du prix Goncourt de Nicolas Mathieu. Et ce sont les stars de ce long-métrage qui ont lancé cette 6e édition ce lundi 30 septembre à Nice. Sur le tapis rouge, les deux réalisateurs étaient entourés de l’écrivain, et de leur acteur principal, Paul Kircher. Mais aussi de Ludivine Sagnier, entourée de Sayyid El Alami et Louis Garrel, qui, eux, défendaient Saint-Ex, un film réalisé par l’argentin Pablo Agüero, dans lequel jouent également Vincent Cassel et Diane Kruger. Il s’agit d’un conte centré sur l’amitié entre les pilotes.

Cinéroman sixième édition, quels sont les enjeux ?

Placée donc sous la présidence de Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, les brillants adaptateurs des Trois Mousquetaires et du Comte de Monte-Cristo, « cette 6e édition célèbre une fois de plus l’audace et la créativité qui font dialoguer la plume et la caméra », peut-on lire sur le site du festival., où la participation des jurés est également saluée. Leur « apport est essentiel au succès de cet événement ».

Quant aux intentions des deux hommes avec cette 6e édition, on apprend ceci : « Nous continuons à innover et à enrichir notre programme, en élargissant notre panorama et en développant une nouvelle activité : un futur marché professionnel de Cinéroman, inaugurée au printemps de cette année. Et pour cette édition, nous nous tournons également vers la nouvelle génération avec l’espoir de redonner aux grands romans du XIXe siècle, trop souvent perçus comme un devoir par les jeunes, la place qu’ils méritent : celle d’un plaisir incommensurable. » On leur souhaite alors le maximum de réussite avec cet événement !