PUREPEOPLE 🔵 Elisabeth Quin atteinte d’une maladie « silencieuse et héréditaire » : pourquoi elle risque de perdre la vue ?
Rattachée à la rubrique télé, Hiba Semali se consacre au petit écran. The Voice, Koh-Lanta, Top Chef, Secret Story, Star Academy ou encore Les Marseillais n’ont aucun secret pour elle.
Voilà plusieurs années qu’Elisabeth Quin a levé le voile sur sa santé fragile : elle a révélé être atteinte d’un double glaucome, maladie dégénérative de l’oeil pouvant rendre aveugle à terme. Désormais, elle donne de ses nouvelles et se livre sans filtre sur les traitements et examens lourds qui accompagnent la maladie.
Elisabeth Quin atteinte d’une maladie « silencieuse et héréditaire » : pourquoi elle risque de perdre la vue ?
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Le quotidien d’Elisabeth Quin s’apprête à connaitre un grand changement ! En effet, comme annoncé il y a moins d’un mois, la journaliste et écrivaine de 62 ans sera bientôt grand-mère ! Sa fille Oona Propper-Quin, âgée de 22 ans, est enceinte de son premier enfant ! A cette occasion, mère et fille prennent la pose pour nos confrères du magazine Gala, numéro disponible en kiosques le 19 septembre dernier. Dans les pages de l’hebdomadaire, Elisabeth Quin évoque l’arrivée prochaine de ce petit bébé dans la famille mais pas que. En effet, elle revient sur ce glaucome qui la fait souffrir depuis maintenant plusieurs années.
C’est une maladie dégénérative qui n’a rien d’anodin. Le glaucome de l’oeil est caractérisé par des lésions du nerf optique qui entraîne alors une perte progressive de la vision. Si elle a accepté d’en parler, c’est pour une raison bien précise. « Cela me permet de rappeler à quel point c’est une maladie silencieuse et héréditaire qu’on ne peut pas détecter sans faire de prise de tension intra-oculaire chez un ophtalmologiste, tous les ans ou tous les deux ans, confie Elisabeth Quin à Gala. Je mets des collyres deux fois par jour, j’effectue des examens tous les trois mois, notamment pour évaluer les champs visuels. C’est insupportable à faire, car vous voyez ce que vous ne voyez plus. Plus des examens du nerf optique, des prises de tension…«
Elisabeth Quin atteinte d’une maladie dégénérative, elle a appris à relativiser
Un pépin de santé qui la touche elle mais qui perturbe sa fille, adoptée il y a longtemps au Cambodge. « Cela l’a inquiétée, elle me demande régulièrement comment ça va. En riant, elle me dit : ‘Je serai ta canne blanche.’ J’essaie de ne pas peser avec ce truc… » La compagne du journaliste François Armanet a appris à relativiser avec le temps. Et puis, avec l’expérience aussi : « Après avoir vu les mecs du cécifoot et des salles entières communiant silencieusement face à cette volonté humaine… je me dis qu’il y a pire. Et puis on vit dans un pays où, même si tout n’est pas parfait, il y a quand même une prise en charge. Même s’il y a des cons qui font de la trottinette ou du vélo sur le trottoir, on peut encore se déplacer avec une canne blanche sans se faire renverser. Mais de toute façon, on n’en est pas là. » Ouf !