FRANCE INFO 🔵 Assurance-chĂ´mage : les nĂ©gociations vont reprendre « sur la base de l’accord de novembre 2023 » signĂ© par trois syndicats et le patronat, affirme la ministre du Travail – Shango Media
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FRANCE INFO 🔵 Assurance-chĂ´mage : les nĂ©gociations vont reprendre « sur la base de l’accord de novembre 2023 » signĂ© par trois syndicats et le patronat, affirme la ministre du Travail

Les partenaires sociaux sont « les mieux placĂ©s pour apporter les solutions », avait affirmĂ© Michel Barnier dans sa dĂ©claration de politique gĂ©nĂ©rale, mardi devant l’AssemblĂ©e.

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FRANCE INFO 🔵 Assurance-chĂ´mage : les nĂ©gociations vont reprendre « sur la base de l’accord de novembre 2023 » signĂ© par trois syndicats et le patronat, affirme la ministre du Travail

Les nĂ©gociations pour l’assurance-chĂ´mage vont reprendre, « sur la base de l’accord de novembre 2023 qui a Ă©tĂ© votĂ©, acceptĂ©, signĂ© par trois organisations syndicales [la CFDT, FO et la CFTC, ndlr] et par le patronat [Medef, U2P et la CPME] » a prĂ©cisĂ© la ministre du Travail et de l’Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, invitĂ©e mercredi 2 octobre sur franceinfo. Au lendemain de la dĂ©claration de politique gĂ©nĂ©rale de Michel Barnier, elle a prĂ©cisĂ© les propos du Premier ministre. 

Les partenaires sociaux sont « les mieux placĂ©s pour apporter les solutions » a affirmĂ© Michel Barnier dans son discours, qui leur a demandĂ© qu’une nĂ©gociation sur l’assurance-chĂ´mage s’ouvre « dès les prochaines semaines ». 

Ces nĂ©gociations s’ouvriront donc sur la base de l’accord de 2023 et non de la rĂ©forme proposĂ©e par Gabriel Attal qui n’entrera pas en vigueur. L’accord de 2023 est « l’agrĂ©ment le plus large des partenaires sociaux », estime la ministre, alors que la rĂ©forme de Gabriel Attal, Ă©tait largement contestĂ©e par les syndicats. Elle ne pourra revenir dans les nĂ©gociations que si « les partenaires sociaux ont envie d’y revenir », ajoute-t-elle.

La rĂ©forme de Gabriel Attal prĂ©voyait un large durcissement des conditions d’accès aux indemnitĂ©s, avec une durĂ©e minimale travaillĂ©e qui passait de 6 mois sur 24 Ă  8 mois sur 20 et la durĂ©e d’indemnisation qui passait de 18 Ă  15 mois. JugĂ©e « indispensable » par Emmanuel Macron dĂ©but juin, elle avait Ă©tĂ© suspendue dans la foulĂ©e du premier tour des lĂ©gislatives, le 30 juin, par Gabriel Attal lui-mĂŞme.

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