CLUBIC 🔵 Test ASUS Zenbook S14 OLED : Lunar Lake Ă la pointe de l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique et des performances graphiques
Présenté à l’IFA 2024, le Zenbook S14 OLED est le nouveau fer de lance d’ASUS sur le marché des ultraportables. Ce produit reprend à son compte le design du Zenbook S16, lancé pour sa part en juillet, mais avec cette fois un processeur Intel « Lunar Lake » sous le capot. Voyons ce que vaut le nouveau modèle du constructeur taïwanais, mais aussi (et surtout) ce que propose Intel avec cette toute nouvelle génération de processeurs mobiles.
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- La bonne surprise graphique du Core Ultra 7 258 V
- L’efficacité énergétique de Lunar Lake
- Le design, impeccable, du Zenbook 14
- Autonomie confortable (plus de 12 Ă 13 heures)
- Performances en net reflux d’Intel sur le multi-core
- L’écran OLED pas assez lumineux, et très sujet aux reflets
- Trackpad toujours décevant
La tentaculaire gamme Zenbook d’ASUS s’élargit encore. En marge des Zenbook « classiques », des Zenbook Pro, Zenbook Flip, Zenbook Duo et autres Zenbook Fold, le constructeur taïwanais renforce cette année très franchement son offre Zenbook S. Nous vous parlions il y a peu d’un certain Zenbook S16, dévoilé lors du Computex et commercialisé depuis cet été avec un processeur Ryzen AI 9 HX 370, et nous voici désormais face au Zenbook S14, annoncé début septembre.
Similaire au Zenbook S13 2023 en matière de format, mais avec un châssis rigoureusement identique à celui du nouveau Zenbook S16 (ça va, vous suivez toujours ?), ce nouvel ultraportable s’installe sur le haut de gamme d’ASUS avec un prix audacieux : 1 799 euros en France. Pour ce tarif, ASUS ne mégote pas, on trouve sur l’engin à peu près ce qu’il se fait de mieux sur le marché… à commencer par un processeur Intel Core Ultra 7 258 V « Lunar Lake », dévoilé lui aussi à l’IFA.
Prêté par Intel France, le Zenbook S14 est le premier modèle « Lunar Lake » que nous recevons chez Clubic. Vous comprendrez donc qu’au-delà du test de l’appareil à proprement parler, nous porterons une attention toute particulière à son processeur. Une puce d’autant plus importante qu’elle arrive sur le marché alors qu’Intel traverse une zone de turbulence aiguë, mais aussi en pleine période de transition (et de bouleversements) pour les processeurs mobiles.
Design : somptueux, quasi parfait
Avec 31.03 x 21.47 x 1.29 cm (à l’endroit le plus épais) pour 1,20 kg, le nouveau Zenbook S14 est résolument « Thin and Light » comme le matraquent depuis des années les constructeurs de PC ultraportables. Sans nécessairement battre de record, il adopte, pratiquement à l’identique, le format et le poids du MacBook Air M3 (30,41 x 21,50 x 1,13 cm pour 1,24 kg) son principal concurrent. C’est donc une machine très agréable à transporter que nous propose ASUS, même si en matière d’encombrement, la plupart des modèles de 13 et 14 pouces lancés cette année se valent… à quelques grammes et millimètres près.
Sur le plan esthétique à proprement parler, notre petit Zenbook conserve, nous l’avons dit, l’apparence et les matériaux de son grand frère le Zenbook S16, lancé cet été. À l’exception de leurs formats respectifs, les deux appareils sont rigoureusement identiques. On retrouve notamment le châssis en aluminium du Zenbook S16, mais aussi et surtout son capot en « Ceraluminium » : un alliage d’aluminium développé spécialement pour cette gamme et inspiré de la joaillerie, nous indiquait en juin ASUS. Le résultat est élégant, sobre et en même temps unique sur le marché. En un sens, le Zenbook S14 se paye le luxe de ne pas être l’ordinateur de « Monsieur Tout-le-monde ». Tant mieux.
Mais au-delà de son look et de sa compacité, le Zenbook S14 parvient (comme souvent chez ASUS) à embarquer un très bel éventail de connectiques pour son format : un port USB 3.2 Gen 2 type-A, deux ports USB-C Thunderbolt 4, une sortie HDMI 2.1 et une prise casque jack 3,5 mm. Par rapport au modèle de 16 pouces, seul manque le lecteur de cartes SD.
Le duo clavier-trackpad offre pour sa part une expérience dans la lignée de celle que nous découvrions en juillet sur le Zenbook S16. La frappe, là aussi, est assez sèche, mais la saisie reste précise et globalement agréable. Les claviers du XPS 13 ARM ou encore du MacBook Air M3 nous paraissent légèrement supérieurs, mais le Zenbook S14 n’est pas ni à plaindre ni à blâmer, sur ce point. On regrette en revanche qu’ASUS ne fasse pas mieux sur le trackpad. La surface de glisse est suffisante, mais la précision loin de s’avérer optimale, en particulier avec les clics appuyés. Si bien que connecter une souris externe devient vite la meilleure chose à faire.
ASUS équipe enfin son Zenbook S14 d’une webcam 1080p épaulée des capteurs nécessaires à l’identification faciale via Windows Hello. La reconnaissance de votre bobine permet une ouverture de session instantanée au démarrage ou en sortie de veille. La qualité d’image offerte par cette caméra est pour sa part dans la moyenne de ce que l’on trouve désormais sur PC portable. Malgré un piqué très perfectible en basse lumière, attendez-vous donc à une captation convenable pour les appels vidéo, mais pas à grand-chose de plus. Ce n’est déjà pas si mal.
L’appareil est enfin doté d’un quatuor de haut-parleurs. Ces derniers délivrent une bonne qualité audio dans l’ensemble. À défaut d’y trouver des graves aussi riches que ce que nous promettait ASUS, le son est clair et plutôt équilibré, sans effet de boîte.
Côté évolutivité, ce nouveau Zenbook fait cette fois le minimum. La batterie est facilement accessible, au même titre que le SSD M.2 2280 que l’on peut remplacer au besoin. La mémoire vive, par contre, est solidaire de la carte mère et ne pourra donc pas être changée à l’avenir.
Écran : miroir, miroir, mon beau miroir
Pour son Zenbook S14, ASUS choisit une nouvelle fois un écran OLED émanant de Samsung Display. Le constructeur nous promet beaucoup de jolies choses sur ce panneau de 14 pouces, à commencer par une définition 2,8K (2880 x 1800 pixels) une fréquence de rafraîchissement 120 Hz et une prise en charge intégrale du spectre DCI-P3. On retrouve pour le reste un format 16:10, 0,2 ms de temps de réponse (OLED oblige), et une luminance maximale censée atteindre 400 nits en SDR. Voyons ce qu’il en est vraiment avec notre sonde et le logiciel de mesures DisplayCal.
Nos outils nous permettent de mesurer d’office un pic de luminosité légèrement inférieur aux données de la fiche technique de l’appareil. Celui-ci ne dépasse pas les 372 cd/m2 dans le meilleur des cas en SDR. C’est trop juste, car l’écran — tactile — souffre d’une forte réflectance, comme toujours avec la technologie OLED. En clair, cette dalle prend sérieusement des airs de miroir… et la luminosité maximale ne suffit pas toujours à compenser assez les reflets pour assurer une lisibilité optimale.
Ce problème est toutefois commun à la majorité des PC portables récents dotés d’écrans OLED, pour la simple et bonne raison que tous (ou presque) se fournissent chez Samsung Display et emploient par conséquent des dalles similaires sur leurs différents appareils. Samsung est donc, à nos yeux, celui qu’il faut pointer du doigt. Heureusement, l’écran de notre Zenbook S14 est parfait sur tout le reste.
Outre son contraste infini (l’une des grandes vertus des dalles OLED), le panneau choisi par ASUS s’avère en effet particulièrement bien calibré. On mesure notamment un DeltaE à 1,2 (idéalement, il doit être égal ou inférieur à 3, nous y sommes) et une température des couleurs irréprochable dès le déballage, avec 6 555 kelvins. Un score extrêmement proche des 6 500 kelvins du standard vidéo. Ces deux facteurs nous assurent une excellente fidélité colorimétrique.
À cela s’ajoute une prise en charge généreuse des principaux espaces de couleurs : 168 % du spectre sRGB est ainsi couvert, tandis que l’espace DCI-P3 est supporté à 119 %. Il s’agit là d’une bonne nouvelle supplémentaire, a fortiori pour les utilisateurs créatifs. Et vous allez voir plus bas, que ces derniers pourraient bien apprécier le Zenbook S14 pour un autre motif que les belles couleurs de son écran.
Performances : Intel change d’approche, tant mieux ?
Le Zenbook S14 est l’un des premiers modèles du marché à embarquer un processeur Intel Core Ultra de Série 2 « Lunar Lake ». Cette nouvelle génération de processeur mobile tranche assez franchement par rapport à ce que l’on avait pris l’habitude de trouver ces dernières années chez Intel, car si l’on conserve une organisation big.LITTLE au niveau des cœurs du CPU, Intel abandonne à la fois ses cœurs à très faible consommation énergétique (ceux qui étaient limités à un maximum de 1 GHz sur les références « Meteor Lake » les plus rapides, comme le Core Ultra 9 185H), mais aussi et surtout l’hyperthreading.
Gravé en 3 nm par TSMC (un détail qui a son importance), l’Intel Core Ultra 7 258 V qui nous intéresse pour ce test se contente par conséquent de 8 cœurs (4 cœurs hautes performances cadencés entre 2,2 GHz et 4,8 GHz /4 cœurs haute efficacité cadencés entre 2,2 GHz et 3,7 GHz) et 8 threads « seulement ». Pour comparaison, les Snapdragon X Elite, chez Qualcomm, et les derniers Ryzen AI 300 chez AMD embarquent 4 cœurs de plus (pour un total de 12 cœurs CPU dans les deux cas), tandis que les nouvelles puces mobiles d’AMD conservent le multithreading. S’en priver est donc un arbitrage étonnant de la part d’Intel.
Quoi qu’il en soit, le Core Ultra 7 258 V embarque en parallèle 12 Mo de cache, un NPU développant 47 TOPS (dévolus au calcul local de l’IA) et une partie graphique Intel Arc 140V (comprenant elle-même 8 cœurs Xe à 1,95 GHz)… le tout pour une enveloppe thermique annoncée entre 17 et 37 W en fonction des scénarios d’utilisation.
Maintenant que les présentations sont faites, passons au vif du sujet et donc aux performances obtenues par la toute nouvelle puce d’Intel.
Commençons par les scores obtenus sur Cinebench R24. Compatible autant avec les solutions x86 qu’avec les dernières puces ARM, cet outil nous permet très vite de mesurer l’ampleur du manque à gagner de notre Core Ultra 7 258 V en matière de performances multi-core. Nous verrons plus loin que cette conséquence directe de l’absence d’hyperthreading est compensée par au moins deux bonnes surprises… mais pour ce domaine en particulier, l’écart est très palpable face à la concurrence.
Sur secteur, le Core Ultra 7 258V se contente en effet de 597 points seulement en multi-core, contre 119 points en single-core. Le passage sur batterie, en maintenant les mêmes réglages d’alimentation (mode performances de Windows + mode boost depuis l’utilitaire MyASUS), n’a par contre aucune conséquence notable sur les performances obtenues. On retrouve cette fois 600 points tout ronds en multi-core et 117 points en single-core, toujours sous Cinebench R24. Un bon point, car en la matière, Intel n’a plus rien à envier aux solutions ARM, connues pour être aussi rapides sur chargeur que sur batterie.
Si l’on regarde rapidement ce que les trois principaux concurrents actuels du Core Ultra 7 258 V proposent, on se rend toutefois compte du « gap » en multi-core : le Qualcomm Snapdragon X Elite (X1E-80-100) du Surface Laptop 7 obtenait 931 points en multi-core et 123 points en single-core sur Cinebench R24 ; l’AMD Ryzen AI 9 HX 370 du ASUS Zenbook S16 glanait 974 points en multi-core et 112 points en calcul single-core sur le même outil ; tandis que la puce Apple M3 du dernier MacBook Air y collectait 569 points en multi-core et 139 points en single-core.
Si l’on compare cette fois la prestation du Core Ultra 7 258 V à celle d’un de ses prédécesseurs, le Core Ultra 7 155H, on observe la même dynamique de recul sur les performances en multi-core. À bord du ASUS Zenbook 14 OLED (non « S »), l’ancienne puce « Meteor Lake », lancée fin 2023, obtenait pour rappel 717 points en multi-core sur Cinebench R24, contre 104 points en single-core.
On voit donc bien qu’Intel a réussi à se renforcer en single-core, mais que le groupe a clairement choisi de réduire la voilure de ses nouveaux APU en multi-core. Une approche qui n’est, en réalité, pas si scabreuse qu’on pourrait le croire… car cela permet à la firme de frapper fort sur le plan GPU.
C’est bien simple, le Core Ultra 7 258 V surclasse tout à la fois les puces d’Apple, d’AMD et de Qualcomm sur le plan des performances graphiques embarquées. Voyez plutôt : en définition Full HD+ (1920 par 1200 pixels), avec les réglages élevés et une petite couche de supersampling (Intel XeSS 1.3 en niveau « qualité » et finesse 0.50), Cyberpunk 2077 était animé sans broncher à 36 FPS en moyenne par notre iGPU Intel Arc 140V. Dans des conditions similaires, l’AMD Radeon 890M embarqué par le dernier Ryzen AI 9 HX 370 se limitait à 28 FPS en moyenne.
Sur Shadow of the Tomb Raider cette fois, toujours en Full HD+ mais avec des réglages moyens/élevés et les textures en x16 anisotropique, la nouvelle puce d’Intel tenait une moyenne de 33 FPS. Avec la même définition et l’ensemble des réglages en élevé, la dernière puce d’AMD montait à 27 FPS, tandis que l’Apple M3 tenait les 30 FPS. Bon dernier, l’iGPU Adreno des Snapdragon X Elite se limitait pour sa part à une vingtaine de FPS avec des réglages moyens, des textures 2x et une qualité graphique nettement amoindrie.
Côté benchmark aussi, la balance penche également en faveur de la solution Intel, avec un score graphique de 1 911 points pour l’Intel Arc 140V, contre 1 527 points pour l’AMD Radeon 890M sur 3D Mark Time Spy Extreme. Pour comparaison, la petite NVIDIA GeForce RTX 2050 (45 W) développait 1 716 points sur le même outil ; tandis que la RTX 4060 (45 W) du petit MSI Cyborg 14 y obtenait pour sa part 3 520 points.
Ces performances graphiques ont plusieurs avantages. Outre leurs capacités en jeu (on a d’ailleurs hâte de voir ce que donneront les nouvelles puces d’Intel sur la prochaine génération de consoles portables Windows), elles offrent une marge de manœuvre très intéressante en utilisation créative, pour du montage photo occasionnel ou de la retouche photo, par exemple.
La nouvelle puce d’Intel fait également bonne impression en matière d’efficacité énergétique. Outre sa capacité à obtenir rigoureusement les mêmes performances sur secteur et sur batterie, cette dernière a le mérite de ne chauffer que modérément. En utilisation intensive et prolongée, nous n’avons pas mesuré plus de 50 degrés sur notre Zenbook S14 avec notre caméra thermique. Le système de dissipation actif était alors lancé à pleine vitesse, mais sans que les ventilateurs ne soient assourdissants pour autant. En utilisation courante, les températures sont cette fois négligeables, et les ventilateurs coupés la plupart du temps.
Terminons par un point sur les performances du SSD. La barrette M2 2280 PCIe Gen 4 de 512 Go intégrée à notre machine de test a obtenu 5012 Mo/s en lecture contre 2797 Mo/s en écriture sur CrystalDiskMark. Nous sommes donc déçus par les résultats en écriture, mais ces débits restent suffisants pour la majorité des usages.
Autonomie : bien, mais pas assez pour se hisser en première place
Mais alors, cette efficacité énergétique renforcée a-t-elle un impact positif sur l’autonomie ? Eh bien oui, mais peut-être pas autant que nous l’aurions aimé. En l’état, l’endurance de notre Zenbook S14 est plutôt dans la bonne moyenne des PC ultraportables de 2024, sans passer de nouveau cap… et sans surclasser celle des MacBook Air M3, globalement toujours au-dessus du lot.
En lecture vidĂ©o, dans le cadre de notre test d’autonomie habituel (lecture de vidĂ©os YouTube sur Edge, en 1080p, avec la luminositĂ© de l’Ă©cran Ă 100 %, le rĂ©troĂ©clairage du clavier coupĂ©, un casque branchĂ© et les paramètres d’alimentation les plus favorables Ă l’Ă©conomie d’Ă©nergie), notre petit Zenbook tient 12 heures et 45 minutes sur sa batterie de 72 Wh. L’autonomie est donc solide sur ce produit, et nous sommes d’ailleurs au niveau de ce que permettent les PC portables Copilot+ dotĂ©s de puces Snadragon X Elite.
La recharge se fait pour sa part en 1 heure et 45 minutes environ, à l’aide d’un chargeur USB-C compact, de 65 W.
ASUS Zenbook S14 : l’avis de Clubic
Le Zenbook S14 est un excellent ultraportable, compact, Ă©lĂ©gant, performant et endurant. Nous lui reprochons toutefois, comme Ă beaucoup d’autres modèles OLED lancĂ©s cette annĂ©e, la brillance extrĂŞme de son Ă©cran, qui nuit souvent Ă la lisibilitĂ©, et au bout du compte Ă l’expĂ©rience globale. Un souci qu’ASUS et Samsung rechignent visiblement Ă corriger… ou du moins Ă attĂ©nuer.
L’appareil est quoi qu’il en soit l’un des premiers Ă embarquer les nouvelles puces Intel Lunar Lake. Avec elles, on perd en performances multi-core ce que l’on gagne en puissance graphique et en efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique. Ă€ dĂ©faut d’ĂŞtre parfaitement en phase avec nos espĂ©rances, le bilan est donc tout Ă la fois surprenant et encourageant.
Surprenant, parce qu’Intel prend le risque d’offrir une partie CPU puissante, mais pas autant que chez les solutions concurrentes. Encourageant, car en contrepartie, la firme nous propose une partie GPU musclĂ©e, supĂ©rieure cette fois Ă ce que Qualcomm, AMD et Apple sont capables de faire dans l’immĂ©diat. Cette approche audacieuse n’est finalement pas pour nous dĂ©plaire, d’autant que Lunar Lake n’a pas grand-chose Ă envier aux dernières puces ARM de Qualcomm sur le terrain de l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique.
- La bonne surprise graphique du Core Ultra 7 258 V
- L’efficacité énergétique de Lunar Lake
- Le design, impeccable, du Zenbook 14
- Autonomie confortable (plus de 12 Ă 13 heures)
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- L’écran OLED pas assez lumineux, et très sujet aux reflets
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Fiche technique ASUS Zenbook S14 (2024)
Résumé
Processeur | Intel Core Ultra 7 258 V |
Taille de la mémoire | 32Go |
Carte graphique | Intel Arc 140V |
Taille de l’Ă©cran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
OS
Système d’exploitation | Windows 11 |
Processeur
Processeur | Intel Core Ultra 7 258 V |
Type de processeur | 8 coeurs, 8 threads |
Fréquence du processeur | 4.8Hz |
Finesse de gravure | 3nm |
MĂ©moire vive
Taille de la mémoire | 32Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 8,533MHz |
Graphismes
Carte graphique | Intel Arc 140V |
Écran
Taille de l’Ă©cran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Type d’Ă©cran | OLED |
RĂ©solution d’Ă©cran | 2880 x 1800 pixels |
Format de l’Ă©cran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Oui |
Stockage
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | Jusqu’Ă 1 To |
Lecteur optique | Aucun |
Connectique
Connectiques disponibles | USB 3.2, USB Type C, HDMI 2.1, Thunderbolt 4/USB-C, Jack 3,5mm Femelle Stéréo |
RĂ©seau sans-fil
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 7 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.4 |
Équipement
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rĂ©troĂ©clairĂ© | Oui – Couleur unique |
Pavé numérique | Non |
Caractéristiques physiques
Épaisseur | 1.19cm |
Longueur | 31.03cm |
Largeur | 21.47cm |
Poids | 1.2kg |
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