BFM TV 🔵 Matignon: pas de nomination ce mercredi, la piste Michel Barnier désormais explorée
Nouveau suspense pour Matignon, le scĂ©nario Bertrand s’Ă©loigne, la piste Barnier Ă©merge
Ce direct est terminĂ©. Alors que la nomination d’un Premier ministre Ă©taient un moment attendue dans la journĂ©e, le suspense continue donc pour encore au moins un jour.
Emmanuel Macron, qui semblait prĂŞt Ă nommer Xavier Bertrand, a temporisĂ© et explore d’autres pistes, dont celle de l’ex-commissaire europĂ©en de droite Michel Barnier.
Merci de nous avoir suivis sur BFMTV.com. L’actualitĂ© en rapport Ă la nomination d’un nouveau locataire de Matignon est Ă retrouver dès demain matin sur notre site.
Jean-Luc MĂ©lenchon appelle Ă nouveau Ă manifester samedi « pour lancer le moteur de la destitution » d’Emmanuel Macron
Dans une note de blog, Jean-Luc Mélenchon a qualifié Emmanuel Macron de « grand mamamouchi faiseur de Premier ministre », alors que le président tarde à nommer le nouveau locataire de Matignon.
« Chaque jour qui passe dans la confusion que crée le président est autant de coups qu’il donne à la crédibilité de son mandat et de sa fonction », a déploré le leader insoumis.
C’est pourquoi il a une nouvelle fois appelĂ© les sympathisants de LFI Ă manifester ce samedi « à l’appel des organisations de jeunesse (…) pour lancer le moteur de la destitution » du prĂ©sident, dont la demande a officiellement Ă©tĂ© signĂ©e par 81 dĂ©putĂ©s.
« Gouverner, c’est nommer »: Hollande appelle Macron à « prendre des dĂ©cisions »
« Il y a un problème chez le prĂ©sident de la RĂ©publique, c’est son rapport Ă la dĂ©cision », a lancĂ© François Hollande sur le plateau de Quotidien au sujet d’Emmanuel Macron.
« Gouverner, c’est nommer. C’est le premier acte de prĂ©sident. En 2012, ma première dĂ©cision a Ă©tĂ© de nommer le Premier ministre. C’est une fonction essentielle », a estimĂ© l’ancien prĂ©sident socialiste, alors que le nom du nouveau Premier ministre se fait attendre.
« La politique, c’est prendre des dĂ©cisions. Ne nous habituons pas Ă avoir un pays en suspens », a-t-il insistĂ©.
Michel Barnier, nouvelle « piste sérieuse » pour Matignon
Selon nos informations, obtenues de sources concordantes chez Les RĂ©publicains, Michel Barnier est Ă nouveau une « piste sĂ©rieuse » d’Emmanuel Macron pour Matignon.
« C’est une personnalitĂ© que Laurent Wauquiez apprĂ©cie beaucoup, mais lui s’en tient Ă sa ligne: la nomination du Premier ministre est la prĂ©rogative exclusive du PrĂ©sident », explique l’entourage de Laurent Wauquiez.
De son cĂ´tĂ©, l’entourage du concernĂ© dit ne pas faire de commentaire. Or, selon nos informations, en juillet dernier, Michel Barnier a Ă©tĂ© reçu par Alexis Kohler pour le sonder sur la situation.
Ces derniers jours, de nouveaux Ă©changes ont eu lieu avec l’ÉlysĂ©e.
« Apparemment il a trouvĂ© le collier d’incensurabilitĂ© et il a eu l’occasion de le dire », s’amuse une source chez les LR.
INFO BFMTV. Le nom du Premier ministre ne sera pas annoncé ce mercredi
Le nom du nouveau Premier ministre ne sera pas annoncé ce soir, a appris BFMTV.
Pour la dĂ©putĂ©e RN Edwige Diaz, la longue attente mène Ă de « l’exaspĂ©ration voire mĂŞme au dĂ©goĂ»t »
Trop longue l’attente? Selon la dĂ©putĂ©e du Rassemblement nationale Edwige Diaz, invitĂ©e sur BFMTV, les Français sont passĂ©s du stade de « l’impatience » Ă celui de « l’exaspĂ©ration, voir mĂŞme au dĂ©goĂ»t ».
« J’ai Ă©tĂ© ce week-end dans ma circonscription et les Français ont clairement l’impression que le prĂ©sident de la RĂ©publique se moque d’eux », relate la dĂ©putĂ©e de Gironde.
100 jours d’activitĂ© gouvernementale au ralenti
Si le Premier ministre Gabriel Attal est démissionnaire depuis 50 jours, cela fait depuis 100 jours que son gouvernement tourne au ralenti.
Le 27 mai, Ă deux semaines des Ă©lections europĂ©ennes, marquait le dĂ©but d’une pĂ©riode de rĂ©serve durant laquelle les ministres devaient limiter leurs dĂ©placements officiels et n’avaient pas le droit de faire des annonces, pour ne pas altĂ©rer la campagne.
Or depuis cette date, le gouvernement n’a plus jamais refonctionnĂ© normalement. Entre la dissolution de l’AssemblĂ©e nationale, les pĂ©riodes de rĂ©serve pour le premier tour des lĂ©gislatives et pour le second, la dĂ©mission du gouvernement puis l’expĂ©dition des affaires courantes, l’exĂ©cutif a dĂ» mettre le frein sur les rĂ©formes.
Premier ministre: jusqu’Ă quand Emmanuel Macron peut-il attendre?
VoilĂ 50 jours que Gabriel Attal a dĂ©posĂ© sa dĂ©mission et que la France est gĂ©rĂ©e par un gouvernement dĂ©missionnaire en charge des affaires courantes. Si des noms de futur nouveau Premier ministre tiennent la corde, Emmanuel Macron n’a toujours pas de nouveau gouvernement. Jusqu’Ă quand?
Éléments de réponse dans notre article.
Le nom du nouveau Premier ministre attendu en fin de journée
L’annonce du Premier ministre choisi par Emmanuel Macron est attendue pour la fin de journĂ©e, selon les informations de BFMTV.
Elle devrait avoir lieu par communiquĂ© de presse de l’ÉlysĂ©e, entre 17 heures et 20 heures. Reste Ă savoir si et quand Emmanuel Macron fera une allocution aux Français pour expliquer et justifier son choix.
Pour l’heure, c’est l’hypothèse d’une nomination de Xavier Bertrand, prĂ©sident des Hauts-de-France, qui semble la plus probable.
Lucie Castets assure que ni elle, « ni personne de son Ă©quipe n’a touchĂ© le moindre euro de la part du NFP »
Un tweet pour procĂ©der Ă une « clarification ». Lucie Castets indique ce matin que ni elle, « ni personne de (s)on Ă©quipe (n’a) touchĂ© le moindre euro de la part du Nouveau Front populaire », depuis que l’alliance des gauches l’a dĂ©signĂ©e comme candidate pour Matignon.
Une rĂ©fĂ©rence Ă un article de Marianne, mis en ligne le 3 septembre. Selon celui-ci, l’Ă©quipe de l’Ă©narque de 37 ans a rĂ©clamĂ©, dans un mail, le 30 juillet, une enveloppe de 51.000 euros mensuels aux partis du NFP pour assurer son fonctionnement. Un budget auquel aurait Ă©tĂ© adjoint 9.000 euros Ă partir de septembre pour Lucie Castets. Cette demande aurait ensuite Ă©tĂ© abandonnĂ©e, apprend-on Ă©galement dans Marianne.
Une version que semble confirmer Lucie Castets: « Une estimation budgétaire avait été proposée en juillet par le NFP, elle n’a jamais été mise en oeuvre. Les centaines d’heures de préparation, de réunions et de déplacements ont été réalisées à titre bénévole », écrit-elle sur X.
Notre article
Éric Ciotti Ă©voque un « dĂ©part » d’Emmanuel Macron pour sortir du « blocage »
Emmanuel Macron « a crĂ©Ă© le chaos », dĂ©nonce Éric Ciotti, prĂ©sident contestĂ© de LR, sur France 2, appelant le chef de l’État à « tirer les leçons de son Ă©chec » pour ne « pas rester dans une situation de blocage ».
Et l’alliĂ© du Rassemblement national de faire rĂ©fĂ©rence Ă l’actualitĂ© rĂ©cente pour mieux Ă©voquer une Ă©ventuelle dĂ©mission du prĂ©sident de la RĂ©publique:
« J’ai vu que monsieur Philippe annonçait hier soir sa candidature (Ă la prĂ©sidentielle, NDLR), ça signifie peut-ĂŞtre que lui aussi considère que la seule solution est le dĂ©part de monsieur Macron. »
INFO BFMTV. Le Pen a indiqué à Macron que le RN censurerait Bertrand et Cazeneuve
Marine Le Pen a indiquĂ© ce mardi soir Ă Emmanuel Macron, lors d’un Ă©change tĂ©lĂ©phonique, que le Rassemblement national censurerait un gouvernement avec Xavier Bertrand ou Bernard Cazeneuve Ă sa tĂŞte, selon des propos rapportĂ©s par l’entourage de la leader du parti d’extrĂŞme droite Ă BFMTV.
La cheffe des dĂ©putĂ©s du RN a rappelĂ© au chef de l’État ses conditions pour que les lepĂ©nistes ne censurent pas un gouvernement:
que le futur Premier ministre soit respectueux de tous les Ă©lus et donc de ceux du RN; qu’il s’attelle Ă engager un travail sur le mode de scrutin- autrement dit sur la proportionnelle aux lĂ©gislatives, rĂ©clamĂ©e par le parti Ă la flamme depuis des annĂ©es; qu’il travaille sur des sujets comme l’immigration, la sĂ©curitĂ© et le pouvoir d’achat.
Pour Roussel ce « n’est pas le nom » du futur Premier ministre qui compte, mais sa « politique »
Au micro de RTL, Fabien Roussel prĂ´ne la mĂŞme ligne que son homologue socialiste Olivier Faure concernant le futur Premier ministre.
« Nous ne disons pas, quel que soit le nom, c’est la censure au prĂ©alable et immĂ©diate (…) Ce n’est pas le nom qui compte, c’est le fond, c’est la politique, c’est ce qui sera mis en oeuvre », explique le secrĂ©taire national du PCF.
Retailleau estime que la candidature de Philippe à la présidentielle « marque la fin du macronisme »
Que pense Bruno Retailleau de la candidature d’Édouard Philippe Ă la prĂ©sidentielle? Peu ou proux la mĂŞme chose que la plupart des responsables politiques citĂ©s jusqu’ici dans ce live.
« Franchement, est-ce que 2027, c’est dans la prĂ©occupation des Français aujourd’hui? » questionne le chef des sĂ©nateurs LR sur BFMTV-RMC, avant de rappeler l’ampleur de la situation politique actuelle:
« La France vient de subir une dissolution. Il n’y a pas de majorité à l’Assemblée nationale. Il n’y a pas de Premier ministre. Il n’y a pas de gouvernement. Il n’y a pas de budget posé sur la table, contrairement à l’habitude. Et on voit quelqu’un sortir du bois pour 2027. »
En rĂ©sumĂ©, « ce n’est pas dans le timing », selon Bruno Retailleau qui juge Ă©galement que cette sĂ©quence « marque bien la fin du macronisme ».
Les socialistes censureraient un Ă©ventuel gouvernement Xavier Bertrand
Xavier Bertrand? « Il n’y a aucun doute sur le fait que nous le censurions », indique Olivier Faure, premier secrĂ©taire du PS, sur TF1, alors que le prĂ©sident LR des Hauts-de-France fait partie des hypothèses pour devenir Premier ministre.
Si cette dĂ©claration est tout sauf une surprise, elle confirme la difficultĂ© qu’aurait Xavier Bertrand pour se maintenir Ă la tĂŞte d’un gouvernement.
LR « veut un Premier ministre de cohabitation »
« Nous voulons un Premier ministre de cohabitation », explique Bruno Retailleau, chef des sénateurs LR, sur BFMTV-RMC. Soit un chef de gouvernement qui puisse appliquer le « pacte législatif » souhaité par LR, sans être entravé par Emmanuel Macron.
« Les choses ont Ă©tĂ© très claires »: Retailleau confirme qu’il ne s’opposera pas Ă un gouvernement Bertrand
InvitĂ© de BFMTV-RMC, Bruno Retailleau commence son interview en revenant sur l’appel tĂ©lĂ©phonique d’Emmanuel Macron avec lui, Laurent Wauquiez et GĂ©rard Larcher, consistant Ă interroger ces dernier sur l’hypothèse Xavier Bertrand, membre de leur famille politique.
« Les choses ont Ă©tĂ© très claires, nous ne nous opposerons pas, bien entendu, Ă la nomination de Xavier Bertrand », explique le chef des sĂ©nateurs LR, mĂŞme si sa formation, par la voix notamment de Laurent Wauquiez, avait d’abord exclu toute cohabitation.
« Au rendez-vous de la responsabilité, nous répondrons toujours présent », dit Bruno Retailleau, rappelant néanmoins les « conditions » de la droite.
D’abord, que Xavier Bertrand ait la latitude nĂ©cessaire pour appliquer le « pacte lĂ©gislatif » proposĂ© par LR; ensuite, qu’Emmanuel Macron s’assure de la non-censurabilitĂ© de cette nomination.
Emmanuel Macron a échangé avec Marine Le Pen au téléphone ce mardi soir
Emmanuel Macron a échangé avec Marine Le Pen par téléphone mardi soir dans le cadre de ses consultations en vue de la formation du futur gouvernement, a appris BFMTV de sources concordantes.
Une information logique, le prĂ©sident ayant prĂ©vu d’Ă©changer Ă nouveau avec les forces politiques pour « tester » ses hypothèses pour Matignon.
Olivier Faure justifie la position des socialistes sur Bernard Cazeneuve
Comme nous vous l’Ă©voquions plus tĂ´t dans ce live, les socialistes ont Ă©cartĂ© ce mardi soir un soutien inconditionnel Ă Bernard Cazeneuve, ex-membre du parti, citĂ© parmi les favori pour Matignon.
La direction a soumis une résolution, ensuite adopté, consistant à fixer des conditions pour soutenir un futur Premier ministre.
« Nous pensons qu’avant de se poser la question de qui, il faut se poser la question de quoi », explique Olivier Faure, premier secrĂ©taire du parti au poing et Ă la rose, sur TF1, insistant sur l’importance du « programme » du futur Premier ministre.
Faure estime que « l’ex-majoritĂ© prĂ©sidentielle se dĂ©lite complĂ©tement » après l’annonce de Philippe
« Curieux timing non? » interroge Olivier Faure, premier secrĂ©taire du PS, sur TF1, rĂ©agissant Ă la candidature Ă la prĂ©sidentielle d’Édouard Philippe.
« On voit bien que cette ex-majoritĂ© prĂ©sidentielle se dĂ©lite complètement », tacle le dĂ©putĂ© de Seine-et-Marne, avant d’ajouter:
« Les couteaux sont déjà tirés. Et voir qu’un ancien Premier ministre d’Emmanuel Macron imagine déjà une présidentielle anticipée, c’est dire à quel point il a confiance en ce qui va se passer et en le président qui, autrefois, l’a nommé. »
Les rĂ©actions Ă la dĂ©claration de candidature Ă la prĂ©sidentielle d’Édouard Philippe
C’Ă©tait un secret de polichinelle, mais le timing en a surpris plus d’un et a donnĂ© un argument Ă plusieurs Ă©lus: voilà Édouard Philippe officiellement candidat Ă la prĂ©sidentielle.
Le maire du Havre et ancien Premier ministre a franchi le Rubicon ce mardi dans une interview au Point, au moment oĂą l’attention est focalisĂ©e sur le futur gouvernement, toujours pas nommĂ© 59 jours après la dĂ©faite du camp prĂ©sidentiel aux Ă©lections lĂ©gislatives.
« Pourquoi maintenant? », s’est interrogĂ© Laurent Jacobelli, porte-parole du RN, sur BFMTV. Et le dĂ©putĂ© d’extrĂŞme droite d’ajouter: « Édouard Philippe nous parle de lui au moment oĂą les Français aimeraient bien qu’on leur parle un peu d’eux »
« Faire preuve d’individualisme, parler d’une Ă©lection prochaine (…) ne me paraĂ®t pas vraiment opportun aujourd’hui », a regrettĂ© le patron des sĂ©nateurs macronistes, François Patriat – proche du prĂ©sident de la RĂ©publique – au micro de LCI. « En plein coeur de la crise, il ne pense qu’Ă lui », a tancĂ© la dĂ©putĂ©e Ă©cologiste Sandrine Rousseau sur la mĂŞme chaĂ®ne.
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Quand Xavier Bertrand esquive les questions de BFMTV sur Matignon
Ce n’est pas faute d’avoir essayĂ©, mais Xavier Bertrand n’a rien lâchĂ©. BFMTV est venu Ă sa rencontre ce mardi, Ă Châlons-en-Champagne (Marne), alors que le prĂ©sident LR des Hauts-de-France est parmi les favoris – tout comme l’ancien socialiste Bernard Cazeneuve – pour devenir Premier ministre.
Sera-t-il le prochain locataire de Matignon? Faut-il l’appeler « monsieur le Premier ministre »? « Je suis un prĂ©sident de rĂ©gion qui est au boulot », a Ă©vacuĂ© Xavier Bertrand, esquivant ensuite nos questions une Ă une.
La prudence Ă©tait de mise. Ce qui peut se comprendre, tant le flou règne sur l’identitĂ© du successeur de Gabriel Attal. Bernard Cazeneuve semblait favori, avant que ce ne soit Thierry Beaudet, puis finalement Xavier Bertrand … Dont la cote a quelque peu baissĂ© ce mardi face Ă plusieurs tirs de barrage.
Ou comment rĂ©sumer l’interminable quĂŞte du nouveau Premier ministre.
Bruno Retailleau invité de BFMTV-RMC
Bruno Retailleau, chef des sĂ©nateurs Les RĂ©publicains, est l’invitĂ© du « Face-Ă -face » prĂ©sentĂ© par Apolline de Malherbe sur BFMTV-RMC ce mercredi 4 septembre Ă 8h30.
L’occasion pour l’Ă©lu de VendĂ©e de revenir sur la nomination du futur gouvernement, alors que Xavier Bertrand, membre de son parti, est citĂ© parmi les favoris pour devenir Premier ministre.
Bruno Retailleau, ainsi que Laurent Wauquiez (chef des députés La Droite Républicaine) et Gérard Larcher (président du Sénat), ont été contactés par le président de la République à ce sujet mardi matin. Les responsables de droite se sont dits prêts à soutenir un gouvernement Bertrand à deux conditions.
On vous en parle ici
Édouard Philippe annonce être candidat à la prochaine élection présidentielle
Dans un entretien accordé au Point, Édouard Philippe annonce être candidat à la prochaine élection présidentielle.
« On dit souvent que pour une prĂ©sidentielle il ne faut avoir envie de rien d’autre. J’y souscris », affirme l’ancien Premier ministre.
Édouard Philippe dit être toujours un homme de droite, mais « ne cherche pas tous les matins à me demander quelle est mon étiquette ».
« Je me prépare pour proposer des choses aux Français. Ce que je proposerai sera massif. Les Français décideront », conclut-il.
Le PS Ă©carte un soutien inconditionnel Ă un gouvernement Cazeneuve
Ă€ l’issue d’une rĂ©union mardi soir, le bureau national du Parti socialiste a rejetĂ© une proposition, portĂ©e par certains membres, de ne pas censurer un Ă©ventuel gouvernement de Bernard Cazeneuve, dont le nom figure parmi ceux pressentis pour Matignon.
Par ailleurs, le bureau socialiste a bien voté la proposition de résolution fixant des conditions pour soutenir un futur Premier ministre.
Macron penche pour une « solution politique », continue de tester les pistes Cazeneuve et Bertrand
Bonjour Ă toutes et Ă tous, et bon rĂ©veil. Bienvenue sur ce direct consacrĂ© au suivi de l’actualitĂ© politique.
Pour la cinquantième journĂ©e consĂ©cutive, la France se rĂ©veille ce mercredi 4 septembre sans gouvernement. Si le Nouveau Front populaire est arrivĂ© en tĂŞte sans majoritĂ© absolue lors des Ă©lections lĂ©gislatives, Emmanuel Macron a refusĂ© de nommer Lucie Castets, la candidate de l’union de la gauche, Ă Matignon. Ou tout autre personne.
L’option Xavier Bertrand a provoquĂ© mardi une levĂ©e de boucliers du RN Ă LFI, menaces de censure Ă l’appui. Quant Ă Bernard Cazeneuve, le bureau national du Parti socialiste a Ă©cartĂ© ce mardi soir une proposition de non censure d’un gouvernement Cazeneuve, portĂ©e par les opposants au patron du PS Olivier Faure.