20 MINUTES 🔵 Non, Judith Godrèche n’est pas candidate à la présidence du CNC
Non, Judith Godrèche n’est pas candidate pour remplacer Dominique Boutonnat à la tête du CNC. Ce dernier avait démissionné en juin dernier après une condamnation à trois ans de prison, dont un ferme, pour agression sexuelle sur son filleul.
Dans son édition en ligne, l’hebdomadaire Le Point soutient que l’actrice et réalisatrice « fait partie » des candidats à la succession de Dominique Boutonnat. « J’apprends ce jour par un article de l’hebdomadaire Le Point que je serais candidate à la présidence du Centre national du cinéma (CNC). Je tiens à démentir cette fausse information, n’ayant jamais été candidate à cette fonction », indique Judith Godrèche dans une déclaration à l’AFP.
« Qu’une rumeur »
La comédienne assure également ne pas avoir été contactée « préalablement » par Le Point pour vérifier « ce qui n’était qu’une rumeur » et dit s’interroger « sur les raisons de sa propagation ».
Contacté par l’AFP, le CNC n’a pas fait de commentaires. Le ministère de la Culture, l’autorité de tutelle chargée de désigner le prochain dirigeant du CNC, n’a pas donné suite dans l’immédiat.
Le CNC, dont le directeur général délégué Olivier Henrard assure la présidence par intérim, brasse 770 millions d’euros par an et joue un rôle crucial dans le financement du 7e art comme de toute la filière audiovisuelle. Il veille sur la chronologie des médias et son respect par les plateformes de streaming et joue un rôle central dans les questions de lutte contre les violences sexuelles, un sujet cher à Judith Godrèche.